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Végétation et sols | Photographie | Géographie | Peinture | Dessins et plans | Plantes | Zonage | Altitudes | Effets de l'altitude | Alpes | Végétation | Peintres russes | Nuages | Pédologues | Pédologie | Ripisylves | Russes | Dix-neuvième siècle | Sols -- Micromorphologie | Végétation et climat | ...
Carte du Crau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca1f47-carte-du-crau

Carte du Crau

Carte du biome du Crau. Un biome (du grec bio = vie) est un ensemble d'écosystèmes caractéristique d'une aire biogéographique et nommé à partir de la végétation et des espèces animales qui y prédominent et y sont adaptées. Il est l'expression des conditions écologiques du lieu à l'échelle régionale ou continentale : le climat qui induit le sol, les deux induisant eux-mêmes les conditions écologiques auxquelles vont répondre les communautés des plantes et des animaux du biome en question. Les biomes terrestres sont décrits par la science de la biogéographie. La classification écologique des terres définit le vocabulaire utilisé pour évaluer la taille de ces zones du micro-habitat à la biosphère. Leur concept embrasse les notions de communauté, d'interaction entre sols, plantes et animaux.

Empreinte d'élan. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d726d-empreinte-d-elan

Empreinte d'élan

Empreinte d'élan. Son pied composé de 4 sabots par patte, reliés pour partie par une membrane interdigitaire qui lui permet de moins s’enfoncer dans les sédiments et sols mous que d’autres espèces (charge de 420 à 440 g/cm2, contre 750 pour un bovin et 800 pour un cheval). Cet animal, capable de traverser des lacs et fleuves importants à la nage en Amérique du Nord, est le seul mammifère cervidé capable de brouter des végétaux aquatiques, la tête sous l’eau. Il semble donc occuper une niche écologique particulière et il pourrait avoir joué pour cette raison un rôle important pour l’entretien de la biodiversité et de la végétation naturelle potentielle des zones humides froides et tempérées. Il consomme quotidiennement environ 5 % de son poids (soit plus ou moins 20 kg de biomasse végétale fraîche par adulte de 400 kg).

Joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f288dd-joncs-

Joncs

Jonc diffus (Juncus effusus) poussant sur les bords des plans d'eau. La paille tressée issue de cette plante appelé Igusa au Japon, est utilisée notamment comme enveloppe de couverture dans la fabrication des tatamis ou de la semelle des sandales. traditionnelles, les zoris.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Portrait du pédologue Dokutschajew. Source : http://data.abuledu.org/URI/509daace-portrait-du-pedologue-dokutschajew

Portrait du pédologue Dokutschajew

Tableau de Wassili Wassiljewitsch Dokutschajew (en russe : Василий Васильевич Докучаев) (1846–1903), géographe russe. Il est considéré comme le père de la science des sols ou pédologie et à ce titre comme le premier pédologue. Il est peut-être un des premiers scientifiques à avoir réalisé une vaste étude des types de sols. Il est amené à étudier les sols de son pays car on s'inquiète alors des conséquences désastreuses sur l'agriculture et les sècheresses des années 1873 et 1875. Parcourant la Russie, il observe que les sols sont liés, dans leur nature et leur répartition, aux facteurs suivants : climat, roche sous-jacente, relief, temps, agents biologiques (végétation, animaux du sol). Ses idées vont passer à l'ouest car lui et ses disciples publient en français ou en allemand. L'équipe vient en 1900 à Paris, pour l'Exposition universelle. Elle présente, dans le pavillon russe, un bloc de "tchernoziom" d'un mètre cube, ce sol sur lequel Dokoutchaïev a réalisé sa thèse (1883) et qui est renommé pour sa fertilité.

Végétation d'altitude sur l'île de Madère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5508984f-vegetation-d-altitude-sur-l-ile-de-madere

Végétation d'altitude sur l'île de Madère

Végétation d'altitude sur l'île de Madère, au-dessus des nuages.

Végétation du maquis corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfb848-vegetation-du-maquis-corse

Végétation du maquis corse

Le maquis, sur les sols acides (siliceux) regroupe des espèces comme l'arbousier, le lentisque ou le chêne-liège.

Végétation en milieu humide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d87a5f-vegetation-en-milieu-humide

Végétation en milieu humide

Végétation en milieu humide : zone de plaine inondable à Zagoryansky (Russie).

Zonage altitudinal des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/520ceac0-zonage-altitudinal-des-alpes

Zonage altitudinal des Alpes

Schéma simplifié du zonage altitudinal des Alpes : étagement suivant l'exposition au soleil (ubac et adret). Etage collinéen, montagnard, subalpin, alpin et nival.

Zonage de la végétation dans les Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/520ce9a1-zonage-de-la-vegetation-dans-les-alpes

Zonage de la végétation dans les Alpes

Schéma détaillé des étages de végétation des Alpes. Source : Fleurs de montagne, Jean-Marie Polese, Artémis Editions 2008 et Fleurs des Alpes, balade d'un botaniste des plaines aux sommets, François Couplan, Nathan, 2005.